5 conseils clés pour exploiter efficacement une réponse négative

girl-1064658_1920Vous étiez extrêmement confiant en postulant pour ce poste : votre profil colle exactement au besoin. Et vous attendiez que le téléphone sonne… Grosse déception : c’est un mail qui vient d’arriver. Un mail qui indique que « malgré l’intérêt de votre candidature, nous sommes néanmoins au regret de vous informer que nous pouvons lui apporter une suite favorable »…

Bien sûr, une candidature non retenue est indéniablement une mauvaise nouvelle même pour un candidat parfaitement aguerri à l’exercice. Le poste tant convoité vous échappe alors que votre profil collait parfaitement au besoin de l’employeur. Un refus est toujours un coup dur, il remet en cause votre candidature, votre démarche, votre carrière et même la perception de vos qualités.

Alors, comment réagir ?

Certains subissent en silence, d’autres deviennent susceptibles, beaucoup continuent « comme si de rien n’était », mais de manière un peu moins vaillante toutefois, et enfin quelques-uns essaient de connaître les raisons du refus en contactant le recruteur qui les a éconduits.

Toutes ces méthodes sont vouées à l’échec et ne peuvent que vous démoraliser un peu plus.

Pourtant, il existe des moyens simples pour vous remettre dans la course.

Voici les 5 actions clés qui vont vous permettre de transformer ce refus en opportunité.

 

1. Étudier très attentivement la réponse reçue

De nombreuses réponses négatives fourmillent d’informations intéressantes. Par exemple, le nom du recruteur ou son adresse mail, l’adresse de la société ou du cabinet, la référence du poste convoité… La première étape est de noter précisément toutes ces informations. Cette information a de la valeur : vous avez maintenant un contact supplémentaire dans votre carnet d’adresses.

Ensuite, lisez attentivement ce mail détesté ? Si on vous indique par exemple que « votre CV est conservé au cas où une opportunité se présenterait », notez-le : autant prendre le recruteur au pied de la lettre !

 

2. Ignorer les motifs du refus – et ne pas chercher à les connaître

Quelques candidats, plus pugnaces que les autres, cherchent absolument à entrer en contact avec le recruteur pour connaître les causes du refus qui leur est opposé.

C’est une grosse erreur : ces derniers montrent leur motivation, leur pugnacité, leur détermination, mais ce faisant ils détruisent irrémédiablement le lien fragile qui s’est tissé avec l’entreprise et accroissent l’importance de ce refus et surtout mettent en exergue les causes de ce refus.

Certes, aujourd’hui, d’autres candidats sont peut-être meilleurs pour le poste. Ou alors, il a été pourvu en interne, il a évolué ou a été annulé. Ce n’est pas pour cela que vous n’êtes pas bon !

Alors, plutôt que vous laisser miner par ce refus, il faut agir de manière positive. Pour cela, un seul moyen : ne pas s’arrêter au premier obstacle. Il faut prendre ce refus pour ce qu’il est : un non-événement.

 

3. Remercier (sincèrement)

Tout d’abord, il s’agit bien de remercier le recruteur, et non pas de répondre au recruteur. Il ne s’agit pas non plus d’exprimer votre déception de manière dissimulée, ou de critiquer le choix du recruteur, cela aurait l’effet inverse : l’objectif est bien de laisser une bonne impression, d’ouvrir de nouvelles portes, de créer des opportunités.

Pour remercier le recruteur, nous n’allons pas répondre au message reçu, mais nous allons envoyer un nouveau mail, ou un nouveau courrier.

4 points clés pour rédiger ce courrier ou ce mail :

  • Remercier pour ce qui a été fait : « Je vous remercie d’avoir transmis mon CV à la direction commerciale » ou « d’avoir intégré mon CV dans vos bases ».
  • Rappeler votre motivation, non plus pour le poste, mais pour l’entreprise : « Je suis effectivement très intéressé par votre entreprise, car… »
  • Renvoyer votre CV : « Je vous joins mon CV, mes missions ayant légèrement évolué depuis notre dernier échange. »
  • Rappeler votre objectif : « N’hésitez pas à me recontacter si vous pensez qu’il est opportun à ce stade que nous nous rencontrions. »

 

Et l’objet du mail ou de la lettre ? Restez évasif, et ne rappelez surtout pas la référence de l’offre : autant laisser le recruteur travailler un peu.

 

4. Rester en contact avec le recruteur via les réseaux sociaux

« Je souhaiterais vous ajouter à mon réseau professionnel » est parfaitement anodin, mais très utile. Si vous avez noté les coordonnées du recruteur, c’est bien pour vous en servir. Utilisez donc les fonctions de demande de mise en relation de vos réseaux sociaux professionnels préférés.

Étudiez aussi attentivement le profil du recruteur : il est membre de groupes professionnels ? N’hésitez pas à adhérer à ces mêmes groupes et, si cela est opportun, à y participer.

 

5. Solliciter le recruteur pour obtenir son avis et provoquer une mise en relation

L’entreprise, ou le cabinet, publie une nouvelle offre ? C’est le moment d’activer votre réseau ! Vous pourrez légitimement, à ce moment, solliciter votre contact pour obtenir dans un premier temps son avis sur le poste à pourvoir, et dans un second temps, pour lui proposer de transmettre votre candidature au recruteur.

L’objectif est de créer une relation gagnant-gagnant : il est tout à fait valorisant pour un recruteur de transmettre un bon dossier comme il est pertinent pour vous que votre CV soit transmis par votre réseau.

 

Le truc de CVfirst : plus de 10 % des recrutements se soldent par une rupture de période d’essai à l’initiative de l’entreprise ou du salarié. Garder le contact avec le recruteur vous permet de rester en pôle position si le poste est à nouveau ouvert, sans avoir à solliciter de manière récurrente votre contact. Cette méthode est à privilégier, car elle ne donne pas l’impression que vous tenez rigueur au recruteur de ne pas avoir su choisir le bon profil dès la première sélection…

Le CV de Marissa Mayer, CEO de Yahoo!, comporte 19 défauts majeurs. Saurez-vous les trouver ?

Dans un CV, trop de forme trahit généralement un manque de fond.

Lorsque nous avons trouvé ce joli CV attribué à Marissa Mayer, CEO de Yahoo!, nous nous sommes immédiatement demandé si ce CV permettrait à un candidat lambda d’obtenir des entretiens. Nous n’avons pas tenu compte de la renommée du candidat, car il est bien entendu évident que Marissa Mayer, personnage public, peut facilement obtenir un rendez-vous avec n’importe quel dirigeant.

Alors, nous avons soumis ce CV à nos analyseurs, puis nous l’avons parcouru en quelques secondes comme le ferait un recruteur.

Et le résultat est édifiant.

Pas moins de 19 points rédhibitoires ont été identifiés, dont la plupart provoquent un rejet direct du CV lors de l’analyse.

 

CV de Marissa Mayer

CV de Marissa Mayer avec 19 défauts majeurs et éliminatoires

A vous de les découvrir !

Voici quelques indices :

  • Notre analyseur a détecté une phrase de Lady Gaga dans ce CV
  • L’objectif est flou, et par la mise en avant de compétences anciennes est en régression par rapport aux dernières fonctions.
  • Il vaut souvent mieux savoir reconnaître ses échecs – et en expliquer les raisons – plutôt que de nier l’évidence.
  • Il faut à tout prix éviter de s’attribuer les réussites des autres, surtout quand les dates de ces réussites ne correspondent pas…
  • La présentation des dates doit rester cohérente, en particulier quand un parcours professionnel présente certaines périodes sous-représentées !
  • Les ruptures de séquences de dates perturbent les analyseurs automatiques.
  • Un CV n’est pas l’endroit idéal pour faire du prosélytisme…
  • Les détails personnels et familiaux ont peu d’intérêt professionnel.
  • Des résultats bruts, extraits de tout contexte, ne veulent rien dire et sont souvent contre-productifs.

 

Vous trouverez d’autres indices sur LinkedIn.

Vous avez trouvé les 19 défauts ? A présent, ouvrez le CV en cliquant ici, puis promenez votre souris à l’intérieur : un cadre s’affiche ? Cliquez pour analyser l’erreur et découvrir nos conseils d’amélioration.

Morgan & Philippe, CVfirst

 

PS. N’hésitez pas à à indiquer en commentaire d’autres éventuels défauts que notre analyseur n’aurait pas détecté !

 

 

Manager, dirigeant : Quel CV en temps de crise ?

CV et internalisation des taches en temps de criseQuoi qu’en disent certains politiciens, la crise est bien là, longue et durable.

Mais, pourtant, certains candidats savent parfaitement tirer leur épingle du jeu, même en temps de crise chronique. Et ce, tout simplement car leur CV met en avant les bonnes qualités, les bonnes réussites, les bonnes actions et les bons moyens.

Car rédiger un CV en temps de vaches maigres est différent de rédiger un CV en temps de vaches grasses.

Prenons un exemple.

Vous êtes manager et vous souhaitez lancer un nouveau projet, par exemple pour automatiser un processus.

En période d’abondance, vous allez créer un comité projet, et, comme votre équipe est surchargée, trouver un consultant pour l’animer, réaliser une étude des solutions existantes, puis mandater une société de service pour adapter la solution à votre besoin. Eventuellement, vous pourrez même faire certifier le projet par un auditeur puis faire héberger la solution développée, tandis qu’une société spécialisée va gérer la conduite du changement.

En temps de crise, à défaut de consultant (trop cher !), vous devrez certainement trouver une personne dans votre équipe qui disposera d’un peu de temps pour animer le comité projet restreint et faire un rapide tour des solutions open-sources (gratuites) existantes, et, pour faire des économies, vous adapterez votre organisation à la solution trouvée, quitte à simplifier vos besoins, et les quelques développements restants pourront même faire l’objet d’un sujet de stage… Pour l’hébergement, un serveur informatique existant fera bien l’affaire. Puis, vous trouverez quelqu’un pour former rapidement les utilisateurs, en guise de conduite du changement.

Bien sûr, le résultat ne sera pas tout à fait le même : dans le 1er cas, le projet sera surement (?) livré dans les temps, et opérationnel dès le 1er jour, tandis que dans le 2ème cas, vous aurez peut-être répondu seulement à 80 % du besoin, pris des risques, fait des concessions sur l’ergonomie, et les utilisateurs, obligés de s’autoformer, grinceront quelque peu des dents. Sans compter que vous vous serez peut-être mis personnellement à risque, en l’absence de consultant pour jouer les fusibles.

Et pour votre CV ? C’est pareil : en temps de crise, de nombreux recruteurs auront tendance à privilégier les managers ayant la capacité de faire (cas 2) plutôt que de faire faire (cas 1).

Pour valoriser son parcours en temps de crise, on évitera en particulier de mettre en avant dans son CV des projets valorisant des solutions luxueuses déployées par des armées de consultants issus de sociétés prestigieuses donnant une impression d’opulence.

Car le recruteur, lui, donnera plus facilement sa préférence aux candidats capables de faire avec peu : par exemple, un candidat qui sait mettre les mains dans le cambouis, qui est orienté solutions maison, qui a une approche centrée sur le retour sur investissement et qui valorise la réutilisation de solutions existantes sera celui qu’on s’arrache.

Ce sont ces solutions que votre CV gagnera à défendre. Et ce sont aussi ces solutions qu’il conviendra de valoriser en entretien. Et c’est aussi pour ces mêmes raisons que des Entrepreneurs, même s’ils ont échoué, ont parfaitement leur carte à jouer en temps de crise car ils sont réputés pour leur côté économe.

Exactement l’inverse d’un candidat qui afficherait fièrement dans son CV avoir dépensé $1.1Md pour créer un blog

On trouve dans les CV de nombreuses perles : presque chaque CV contient au moins un élément prêtant à sourire. Mais, souvent, c’est le candidat qui rît… jaune !

Attention aux erreurs dans les CV, elles ne pardonnent jamaisLes perles

Encore aujourd’hui, on trouve dans les CV de nombreuses perles, qui, si elles ne sont pas rédhibitoires, viennent entamer le capital confiance des candidats.

On distingue deux types d’anomalies dans un CV :

  • Les anomalies fortuites, celles qui font sourire et douter du sérieux du candidat.
  • Les anomalies voulues, celles qui permettent au recruteur de poser des « questions pièges ». Elles peuvent être redoutablement efficaces…

Voici quelques exemples anodins -réels- révélés par nos consultants

  • Une adresse email professionnelle, indiquée en entête du CV, alors que le candidat démarchait une entreprise concurrente de la sienne…
  • Un CV d’informaticien avec une adresse email chez un opérateur de jeux en réseau…
  • Une rubrique ‘Expériences professionnelles’… alors qu’une expérience professionnelle est unique !
  • Un ingénieur d’une grande école (groupe 1), jeune diplômé, qui indique sa formation sur la deuxième page, avant les loisirs…
  • Un candidat indiquant qu’il est membre du conseil syndical de sa copropriété.

Tous ces petites « bizarreries » amènent le recruteur à douter et à tenter de « lire entre les lignes »… l’entretien risque vite de se transformer en interrogatoire !

Les perles utiles…

Une (pseudo)perle ou deux, dans un CV, est parfois utile. Pourquoi ?

Tout recruteur qui se respecte met, au moins durant quelques instant, son candidat en situation difficile pour tester sa résistance au stress.

S’y préparer est nécessaire, l’anticiper est parfait. Savoir sur quel passage en particulier on va être mis en difficulté permet évidemment de s’y préparer.

Les perles online…

Les réseaux sociaux sont extraordinaires : en ligne, les candidats aussi adorent se piéger eux-mêmes !

Les deux cas les plus fréquents :

  • Très fréquemment, des objectifs différents de ceux énoncés par le candidat dans son CV ou dans sa lettre, donnant aussitôt l’impression que le CV a été « bidonné ».
  • Des éléments masqués dans le CV qui ressurgissent brutalement dans les réseaux sociaux, comme cette période d’essai écourtée qui a disparu du CV !

On m’a dit de ne pas mettre de résultats chiffrés dans mon CV. Qu’en pensez-vous ?

que mettre dans un CVLes avis arbitraires sont malheureusement légion dès qu’on parle de rédaction de CV.

Mais sur quoi ces avis sont-ils fondés ?

La plupart du temps, ils s’appuient sur des besoins exprimés par les recruteurs.

En général, ces avis conduisent le candidat à l’échec, car l’objectif du recruteur est différent de celui du candidat.

  • Le rôle de votre CV est de conserver le recruteur le plus longtemps possible, du titre vers l’accroche vers votre dernière expérience puis vers les précédentes et vers votre formation, en fournissant un maximum d’éléments permettant de vous choisir.
  • Le rôle du recruteur est de trouver le plus rapidement possible les candidats potentiels parmi des lots de plusieurs centaines de CV…

Alors, comment les recruteurs procèdent-ils ? La plupart du temps, la solution adoptée est d’effectuer un premier tri par mots clés, puis de passer le plus rapidement en revue les 20 % de CV restants issus de cette première sélection.

Les conseils de rédaction de CV émis par les recruteurs sont ainsi biaisés pour 2 raisons :

  • Tout d’abord, les recruteurs ne voient pas 80 % des CV qui leur sont adressés, et ne se rendent absolument pas compte de la difficulté à passer cette première sélection, donc de disposer des bons mots-clés dans son CV.
  • Ensuite, les recruteurs recherchent le mouton à 5 pattes, pour coller à un besoin précis. Et là, l’objectif du CV du candidat est surtout de montrer ses réussites, car, statistiquement, il ne collera jamais à 100 % au poste à pourvoir. D’ailleurs, le candidat choisi correspond rarement au candidat initialement recherché ou même décrit dans une annonce.

C’est pourquoi notre méthode ne s’appuie pas sur des éléments déclaratifs. Elle est complètement différente : nous envoyons des candidatures mystère et mesurons les tendances, les évolutions et les taux de retour.

Pour prendre une analogie « commerciale », qui essayerait, de nos jours, de lancer un « produit » sur un marché hyper-concurrentiel sans réaliser une étude de marché ?

Comment démarcher un cabinet travaillant par approche directe ?

Se faire remarquer par un chasseur de têtesDe nombreux candidats essayent de contacter un grand nombre de cabinets.

Il est très rare que cette démarche soit couronnée de succès.

La stratégie qui consiste à contacter des cabinets de chasseurs de têtes « au cas où ils auraient quelque chose à me proposer » est longue (il existe des milliers de cabinets…) et a peu de chances d’être couronnée de succès : tout au plus, vous obtiendrez des rendez-vous de complaisance ou, pire, des rendez-vous durant lesquels on essaiera de vous extorquer vos « références » pour pouvoir les démarcher…

De toutes façons, ces mêmes cabinets, lorsqu’ils auront une chasse a effectuer, se précipiteront plus naturellement vers les CVthèques ou vers les réseaux sociaux que vers leur propre base de données : beaucoup n’exploitent même plus de vraie base de CV en propre.

Il vaut beaucoup mieux construire une relation dans la durée directement avec les consultants.

Par exemple, en procédant de la manière suivante :

  • Créer ou mettre à jour votre profil online sur les réseaux sociaux professionnels (LinkedIn, Viadeo, Xing)
  • Rechercher le cabinet sur ces mêmes réseaux
  • Identifier les consultants de ce cabinet
  • Demander une mise en relation directe par ces réseaux sociaux et/ou vous inscrire aux mêmes groupes de discussion et intervenir sur ces mêmes sujets

En procédant ainsi, vous serez à coup sûr informé des chasses de ce cabinet et vous pourrez à ce moment entrer en contact direct avec les consultants.

Vous pouvez bien sûr aussi vous enquérir directement auprès des consultants de l’avancement des recrutements en cours, ce qui est en général une excellente entrée en matière.

D’une manière générale, l’approche directe (et votre énergie) devrait être réservée aux entreprises plus qu’aux cabinets de recrutement.

Diffuser son CV sur les réseaux sociaux LinkedIn et Viadeo

diffuser-son-cv-par-les-reseaux-sociauxAu niveau des réseaux sociaux, deux sont à privilégier : LinkedIn et Viadeo.

L’inscription est très simple, mais il convient absolument de conserver une cohérence totale entre votre CV et le profil présenté sur les réseaux sociaux.

Néanmoins, certains éléments supplémentaires gagneront à être conservés uniquement pour votre CV pour ne pas réduire la valeur de votre CV par rapport à votre profil online. Dans tous les cas, mettre plus d’informations sur les réseaux sociaux que sur son CV est une mauvaise idée.

Voici les éléments qu’il est recommandé d’exploiter sur les réseaux sociaux :

– Titre
– Résumé de carrière
– Postes occupés et dates
– Puces principales (niveau 1)
– Formation initiale
– Langues
– Compétences spécifiques
– Engagements
– Mobilité

Par contre, les éléments suivants gagneront à rester uniquement sur votre CV :

– Adresse
– Puces secondaires (niveau 2)
– Formation continue
– Age
– Situation

Mettre un lien vers son blog sur son CV… ou pas ?

Il est tentant de mettre sur son CV des liens externes pour donner des informations additionnelles. Quelle joie de montrer son travail au recruteur !

Néanmoins, cela provoque souvent l’effet inverse de celui attendu.

Cela disperse le lecteur qui risque de se perdre dans vos liens… alors que votre CV doit avoir un seul objectif : être contacté(e).

Comment savoir si mon CV est « grillé » dans un cabinet de recrutement ?

Il est très rare qu’un cabinet de recrutement « grille » un candidat.

Tout d’abord, cela serait compliqué, illégal, dangereux et moralement répréhensible.

Ensuite, les cabinets reçoivent énormément de CV et ne perdent pas leur temps à organiser l’archivage des CV reçus car ceux-ci ont une durée de vie très courte. De nombreux cabinets n’exploitent plus de CVthèque en propre et s’appuient presque exclusivement sur celles du marché.

Néanmoins, si vraiment vous avez un doute, changer l’adresse email et le numéro de portable figurant sur le CV (merci les forfaits à 2 € par mois…) permettra de le lever.